Frère Sommeil - (Schlafes Bruder)

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Tintin
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Frère Sommeil - (Schlafes Bruder)

Postby Tintin » Sat Jan 15, 2011 3:13 pm


Je recherche une personne qui peut m'aider à obtenir ce film.


(Perle du cinéma allemand, drame hautement poétique
décrivant les affres d'un jeune musicien d'orgue des montagnes autrichiennes).


J'étais prêt à l'acheter mais il n'est plus distribué
dans sa version française.
Il est également inutile de le chercher sur l'internet
(nous avons déjà fait : l'éditeur, certaines médiathèques, ...).

Par hasard extraordinaire en reliquat dans une boutique;
vous l'avez peut-être enregistré lors de son passage télé en 2007;
vous connaissez peut-être quelqu'un qui connait...

sesquialt
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Joined:Fri Oct 22, 2010 5:22 pm

Re: Frère Sommeil - (Schlafes Bruder)

Postby sesquialt » Sun Apr 03, 2011 9:41 pm

Je viens de tomber sur un cd pour orgue qui se termine avec une toccata intitulée "Schlafes Bruder "
Le compositeur s'appelle Enjott Schneider, né en 1950.
Le CD est nommé "Phantômes", an organ spectacular, marque OEHMS
L'organiste est Harald Feller.

Si cette pièce vous intéresse, je peux vous envoyer un lien vers le mp3...

CatOrg
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Joined:Thu Jul 21, 2011 1:45 pm

Re: Frère Sommeil - (Schlafes Bruder)

Postby CatOrg » Tue Jul 26, 2011 3:31 am

Bonjour Tintin,

Avez-vous trouvé le film ? Hélas, je ne peux pas vous aider (encore moins depuis la Colombie) mais je l'ai vu à l'époque (en Allemand) et que ce soit le choral (Komm, o Tod du schlafes Bruder - Viens, o mort, frère (soeur) du sommeil) dans la version extrèmement romantisée de Eugen Jochum - (final de la cantate BWV 56 "Ich will den Kreuzstab gerne tragen" - Je veux bien porter la croix et 6ème strophe du choral Du, o schönes Weltgebäude - Toi, o bel édifice de l'univers, en tout cas un très beau choral) ou l'histoire, livret pas crédible (apprendre l'improvisation au plus au niveau en quelques heures volées au curé, ou l'entrée (symbolique) en trance à l'audition de sons discordants) et d'un "romantisme" à vous foutre la cafard pour longtemps, c'est un conte qui relève plus de la mauvaise science-fiction que d'une bonne histoire (la preuve, ca s'est bien vendu ^^ ). La seule morale de l'histoire est musicale, c'est que le génie prémonitoire au sein du roccoco ca aurait été d'improviser comme Olivier Latry (plus ou moins).

Professeur Tourneventilateur


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